Qui suis-je ?

Je m’appelle Vincent, je suis né en 1975, l’année internationale de la femme. Je ne crois pas que l’ONU ait mis en avant les femmes grâce à moi, mais en tout cas, je suis né cette année-là.

Je suis marié et je suis l’heureux papa de 2 magnifiques enfants, un grand gaillard et une petite princesse qui ont respectivement 16 et 13 ans (en 2019).

J’ai eu un parcours scolaire classique, l’école ne m’a pas fait naitre de vocation particulière. Je l’ai faite parce qu’il fallait la faire, me contentant parfois du minimum syndical pour passer en classe supérieure. (Chut ! ne le dites pas à mes enfants !)

J’ai un papa et une maman sans qui je ne serai pas là aujourd’hui, un grand frère et une petite sœur et tout ce petit monde vit encore dans le Nord de la France.

Mes études supérieures ne valent pas un paragraphe, elles ont le mérite d’exister mais n’ont pas fait de moi le professionnel que je suis devenu. Je me suis fabriqué au fil de mes expériences professionnelles, je me suis façonné au contact du terrain et des personnes qui le composent. J’ai croisé des personnes extraordinaires, d’autres moins, mais toutes m’ont fait évoluer et grandir.

J’ai été salarié, patron puis, par la force des choses, je suis redevenu salarié pour pouvoir partir dans le Sud. Sécurité financière oblige !

J’aime le sport. J’ai pratiqué le tennis, le squash, le badminton, le foot sur grand terrain et en salle mais mes deux sports de prédilection sont sans conteste le rugby et le golf.

Le rugby m’a fait découvrir énormément de choses, il m’a inculqué des valeurs de respect, d’honneur, de fraternité et d’engagement. Le rugby m’a donné une deuxième famille, celle du cœur, celle qu’on choisit et qui nous choisit. J’ai joué (personne ne s’en souvient sûrement à cause de mon niveau) et j’ai été éducateur dans mon club de cœur, le R.O.C.Tourcoing.

J’aime rire, me balader, faire les magasins (c’est parce que je suis né en 75, année internationale de la femme), passer du temps avec mes amis et j’aime quand il fait chaud et beau. Et c’est pour cette dernière raison que nous avons décidé, mon épouse et moi-même de quitter le nOOOrd pour le Sud. On voulait se faire notre place au soleil.

Puis en avril 2017, un an après notre installation sur Aix en Provence, j’ai décidé de tester la cryothérapie lors d’une séance qui a très mal tourné. Mes 2 voûtes plantaires ont été brûlées au 3ème degré. Et là, ma vie a changé.

La suite dans les articles du blog 😉